Fraîchement diplômés, Ben et Emma s'offrent des vacances en Thaïlande. Ils découvrent Bangkok et sa vie nocturne et rencontrent des routards avec qui ils partent pour Koh Samet. Là, Ben fait la connaissance de Fon, une jeune masseuse dont il s'éprend...

Éditions GOPE, 12.3 x 18.0 cm, 368 pages, ISBN 979-10-91328-14-2, 18 €

mardi 12 janvier 2016

Coup de projecteur sur les traducteurs

La traduction de Thai Girl a été un travail à quatre mains, une partition interprétée fortissimo puis pianissimo par Laurence Ricciardi et David Magliocco…

C’est que ce roman est un sacré pavé et que les difficultés étaient nombreuses : comment rendre le strine (argot australien) de Maca et le slang américain de Chuck, deux des routards qui tiennent compagnie à Ben durant ses pérégrinations ? Comme faire parler Fon, la jeune masseuse de plage protagoniste du roman, en sachant qu’elle s’exprime en thinglish, une espèce d’anglais simplifié et phonétiquement teinté de thai, sans lui faire parler un langage enfantin ou « petit-nègre » ou même le français tel qu’il serait parler par un locuteur thaïlandais ?

Laurence Ricciardi
Laurence a déjà collaboré avec les Éditions Gope à deux reprises, elle est l’une des traductrices du recueil Bangkok Noir et a traduit la nouvelle qui compose Reflets de Thaïlande N°1 : La photo.

Laurence Ricciardi, 2015.

Née à Marseille en 1967, Laurence est partie vivre aux États-Unis, en Indiana, dans sa famille américaine, après avoir passé le bac. Du coup, elle a repassé un « bac » américain, puis a fait des études universitaires en littérature anglaise et américaine.

Revenue en France, elle travaille depuis 18 ans dans la communication  et s’est spécialisée, ces 4 dernières années, dans la communication numérique en international, dans l’art céramique, notamment pour Argilla, le premier marché potier international de France et parmi les 5 premiers en Europe.

Et comme si ça ne suffisait pas, elle est la mère de trois enfants !


David Magliocco
Bon, inutile de vous présenter une nouvelle fois votre serviteur et rédacteur de ce billet, c’est déjà fait ici.
Dessin de Colin Cotterill (l’un des auteurs de Bangkok Noir) pour le site littéraire de Kevin Cummings


1 commentaire:

  1. Thank you so much for this wonderful recognition of my novel, THAI GIRL. I am so flattered and grateful to you both. Such skill and expertise in translating my work for a French audience!

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